Jeudi 11 Avril 1991 – Et Hélène Me Contacte

Jeudi 11 avril 1991 – Et Hélène me contacte
Nous sommes donc le jeudi et le séminaire de formation se déroule sans problèmes importants et vers 11 heures, la réception m’appelle pour une communication. En fait j’attendais ce coup de téléphone de Monique, comme cela avait été prévu. Effectivement c’était Monique et elle me dit : « Je viens d’avoir un coup de téléphone d’Hélène, l’équipe chargée du transfert devrait rentrer en début d’après-midi, … »
Moi : « Quoi ? »
Monique : « A midi, impossible de se voir, je dois aller à la maison voir si tout et en ordre, … je te contacte cet après-midi, … » et elle avait raccroché.
L’affaire était close, peut-être une chance de se revoir en fin d’après midi à la débauche, mais je n’avais guère d’espoir. Quant au vendredi, c’était le dernier jour de formation, conclusion de la formation, déjeuner et chacun reprenait la route.
La matinée fut très occupée et j’avais fait mon deuil de ma soirée avec Monique, même d’un éventuel rendez-vous à la débauche, ce qui me fut confirmé en début d’après-midi.
En milieu d’après-midi, ce fut Hélène qui m’appela : « J’espère ne pas te déranger, mais tu dois savoir que Henry est rentré dans l’après-midi, ta soirée étant libre, je te propose de venir diner à l’appartement »
Moi : « Avec plaisir, … Est-ce que tu veux que j’apporte quelque chose, … »
Hélène : « Non, … on dinera chinois, … en rentrant, je passe devant un resto, … c’est le plus facile, … bon apportes à boire, … »
Moi : « OK vers quel heure, … »
Hélène : « Disons 8,00 heures, …
Moi : « OK, … «
Hélène : « A toute à l’heure, …je t’embrasse, … »
Tiens, tiens, … la soirée peut ne pas être entièrement perdue. A l’heure indiquée, je sonnais chez Hélène qui vint rapidement m’accueillir. A peine entré, elle vint vers moi et s’ensuivit, au début, un baiser du bout des lèvres, mais faisant en sorte que l’attirant contre moi, et elle se laissant faire, nous finîmes par être l’un contre l’autre, le baiser devint plus gourmand plus sensuel, pour qu’enfin nos langues se caressent.

Ce baiser terminé, nous nous dirigeâmes vers la salle de séjour et je pus apprécier le style de cette femme. Elle portait une robe kimono courte, serrée par une ceinture mais relativement ample et qui ne soulignait pas ses formes, que je connaissais un peu avec ce qui c’était passé précédemment. Lors du premier contact, alors qu’elle était contre moi, j’avais senti que ses seins étaient libres de toutes attaches, ce qui était de bon augure.
Me précédant dans la salle de séjour, Hélène me dit : « Avant de diner, je pense qu’on pourrait prendre l’apéritif, … »
La saisissant par la taille je l’attirais à moi et posais mes deux mains sur ses seins lui disant :
Moi : « Excellente idée, … C’est cet apéritif que je préfère, … »
Hélène posa ses mains sur les miennes : « OH, … oui, … continues, … fais doucement, ils sont sensibles, …» et toujours ses mains sur les miennes je lui « malaxais » les seins avec une énergique douceur je les sentais durcir. Sans aucun doute, elle ne m’avait pas invité que pour un diner en tête à tête, mais à priori, plus tôt pour la bagatelle. Il fallait donc la maintenir dans cet excellent état d’esprit. Tout en la pelotant, ma main droite réussit à pénétrer dans l’échancrure de son corsage, et je pus m’accaparer de son sein nu, dont le téton avait très nettement durci. L’autre main, descendit jusqu’à la ceinture de sa robe kimono et tirant sur le nœud réussit à le défaire. La robe kimono s’ouvrit. Mes lèvres parcourant son cou, ma main droite s’occupant de son sein droit, ma main gauche entrant dans l’ouverture de la robe se posa délicatement sur son ventre et ouvrit entièrement sa robe kimono. Alors, Hélène se retourna elle se colla à moi. Une nouvelle partie de lèche museau, et ma bouche entrepris de s’occuper de ses seins, gonflés à souhait, alors que ma main droite descendait passait une bande de tissu (avait-elle une petite culotte), ce n’était en fait qu’un porte-jarretelles. J’atteignais ainsi ses fesses. Quelques caresses sur le rebondi de son fessier et je glissais entre nous pour enfin atteindre sa grotte d’amour.
A priori sa touffe était bien fournie, mais surtout, elle était bien humide, ses cuisses s’étant écartées, j’arrivais enfin à poser ma paume sur se chatte qui elle aussi était très humide : « Tu es toute chaude, … »
Hélène : « OH, … oui, … depuis que je sais que tu viens, … je ne pense qu’à ça, … j’en ai tellement envie, … rentres, … »
Moi : « Non, … je veux te goutter, … » et je la poussais doucement vers et sur la table, ce qu’elle me laissa faire sans résistance. Arrivée sur la table j’étais entre ses cuisses, qu’elle m’avait laissé écarter et la prenant sous les genoux, je la renversais sur la table, son minou à portée de bouche. Je pus constater que c’était une véritable rousse, sa toison bien taillée en triangle au dessus de ses belles et grosses lèvres était broussailleuse et n’avait certainement jamais était taillée. Peu importe elle était odorante au possible et très humide. Je respirais avec plaisir l’odeur de sa touffe de sa chaude mouille, alors que ma langue la goutter à sa source. A peine, alors que je parcourais, du bout de la langue la raie de ses grosses lèvres, Hélène réagit, d’abord en écartant davantage le compas de ses cuisses puis en m’incitant à la prendre : « Oui, … rentres, … prends moi avec ta langue, … j’aime te sentir là, … » Profitant de ses bonnes dispositions, pendant que ma langue s’occupait du haut de son minou, deux doigts s’enfoncèrent dans son fourreau chaud et humide, cette première pénétration faite en douceur entraina un long soupir de plaisir : « Oui, … j’aime, … tu sais me donner du plaisir, … continues, … » Alors que mes doigts faisaient un aimable va et vient dans sa chatte, je pus saisir ses petites lèvres, les aspirer et les sucer, ce qui entraina chez ma partenaires des râles de plaisir et des encouragements à continuer mon exploration sa chatte. Plus le plaisir la gagnait, plus elle appuyait sa main sur ma tête craignant sans doute que j’abandonne la partie. « Continues, … ne t’arrêtes pas, … je savais que ce serait bon, … Oui, … prends mois fort avec tes doigts, …continues, … je sens, … je vais jouir, … OOOOHHHH, … OUIIIIIIIIIII, ….
» Tout son corps s’était contracté sous la violence d’un fort orgasme. Elle s’était cambrée et ses cuisses s’étaient refermées sur ma tête. J’avais les lèvres pleines de sa mouille, tellement elle avait coulé. Enfin reprenant ses esprit et relâchant l’emprise de ses cuisses je me redressais, elle même en fit autant et se laissant se glisser de la table en s’accrochant à moi elle dit : « Embrasses moi, … je veux lécher tes lèvres, … je veux gouter à notre plaisir, … » et goulument elle me lécha les lèvres avant d’aller chercher ma langue pour la sucer. L’un contre l’autre elle me dit : « Mais t’es encore habillé, … »
Moi : « L’apéritif n’a pas pu attendre, … », alors que je commençais à me déshabiller,
Hélène : « Laisses moi te déshabiller, … je vais pouvoir te connaître, … » et la chemise déboutonnée, elle vint me sucer et me lécher les tétons, puis elle défit la ceinture du pantalon, en le faisant tomber, elle se rendit compte de ce qui était arrivé à mon anatomie. Il y avait une sérieuse proéminence qui se pointait au travers de mon caleçon. Elle s’accroupit et sortant l’engin de sa cache, elle le gouta du bout des lèvres, puis semblant se décider à grands coups de langue elle parcourut mon sexe, pour enfin me lécher les couilles une à une. Je la relevais, elle réagit en disant : « Tu n’aimes pas, … »
Moi : « Si, beaucoup, … mais c’est pas pour ça que tu m’a appelé, … »
Hélène : « Mais, … »
Moi : « Je vais parler franc, …tu m’as appelé pour baiser, … »
Hélène : « Oui, … mais, … »
Moi : « Je suis certain que tu ne penses qu’à ça, … dis moi que tu en as envie, … »
Je bandais dur
Hélène : « Tu es sans pitié, … oui, … c’est pour ça que je t’ai appelé, … tu m’as donné un avant goût, … tu vas me considérer comme une salope, … oui, … viens prends moi, … je veux qu’un homme me baise, … j’en ai terriblement envie, … je veux une queue, … depuis le temps, … viens on va dans la chambre, …»
Moi : « Non, … ici, … » et je la poussais contre et sur la table.
Ce qui se fait sans problème, … » Mais Hélène dit : « On serait mieux dans la chambre, … »
Moi : « Peut-être plus confortable, … mais moins excitant, … et ça te fera des souvenirs chaque fois que verras cette table », et docilement elle repris sa place sur la table, son minou à la hauteur de ma tige, que je m’empressais d’introduire rapidement dans sa grotte d’amour. Pénétration qui lui fit pousser un soupir de plaisir et au moment ou je commençais mes va et vient dans sa chatte bien chaude, elle me bloqua : « Restes un peu, … je veux te sentir en moi, …c’est bon, … » et malgré tout je repris mes va et vient qui coulissaient à merveille dans son fourreau accueillant. Cramponnée à la table, ses jambes repliées, bien écartées elle subissait mes assauts avec des commentaires approuvant mon action : « OH, … oui, … c’est bon … j’aime,… continues, … » Ce que je m’efforçais de faire avec application, puis tout à coup, la machine sembla se mettre en route : « OOOOHHH, … continues, … prends moi fort, … baises moi fort, … éclate moi la chatte, … je veux te sentir, … continues, … OUIIII, … continues, … je sens que ça vient, … ne t’arrêtes pas, … je vais jouir, … OOOOHHHH, …. OUIIIIIIIII, … » alors qu’elle disait son plaisir de sa voix de gorge, et que je me vidais dans son minou, ses jambes s’étaient refermées sur mes hanches et elle s’était cabrée pour s’offrir encore davantage, pour enfin être secouée par un violant spam, suivi de contractions brutales de tout son corps. Enfin se calmant, elle se redressa et se collant contre moi si, elle eut encore quelques soubresauts, elle me dit : « Serres moi dans tes bras, … » ce que je fis, et elle finit par se calmer, enfin se laissant glisser de la table, collée contre moi : « Tu peux être fier de toi, … tu m’as donné beaucoup de plaisir, … ça m’a donné faim, … je m’occuperais de toi après, … viens, … » et elle se pencha pour récupérer son kimono. Alors qu’elle essayait de la passer, je lui dis : « Non, … laisses ça, … restes comme tu es, … »
Hélène : « Mais je suis nue, … »
Moi : « On dinera comme ça, … tu es belle ainsi, … je pourrais encore plus t’apprécier ainsi, … tous tes charmes en vue, … »
Hélène : « Il est fou, … bon, … alors toi aussi, … » ainsi dit ainsi fait, nus comme des vers on installa la table pour diner, ce qui me permit d’apprécier sa silhouette en mouvement, ses seins bien gonflés se balançaient juste ce qu’il fallait pour être excitants, un cul bien rond et bien ferme, que je caressais au passage ce qui m’attira la remarque : « Non, … ne commences pas, … on mange, … après, tout ce que tu voudras, … »
Le diner se passa fort agréablement et en fin diner Hélène apporta des battons glacés et surtout, elle vint s’installer à cheval sur mes genoux. Tels des gamins nous suçâmes ces battons glacés, le mien, le tien, … mais … ses tétons étaient bien dressés et ne demandaient qu’à être sucés, ce que je m’empressais de faire passant de l’un à l’autre comme Hélène me les présentaient d’autre part sa position était telle que les cuisses bien écartées son minou était à protée de main et la bouche occupée, mais les mains libre, je m’empressais de glisser ma main sur son minou. Ses grosses lèvres étaient gonflées et très humides. Ma paume ainsi posée, le majeur commença à se glisser entre ses deux grosses lèvres, la réaction fut rapide : « Arrêtes, … on va dans la chambre, … »
Moi, alors que depuis un moment « popol » s’était enfin réveillé et faisait honneur à son propriétaire je lui dis : « Non, … on est bien ici, … je suis sur que tu es prête, … tu n’as qu’à me guider, … » et sans hésiter elle se redressa et positionnant ma queue dans m’entrée de sa chatte littéralement elle s’y empala avec force et elle commença par des rotations de son bassin utilisant ma bite comme ayant pivot, puis les pieds sur les barreaux de la chaise elle continua en s’empalant avec une régularité de métronome sur ma queue avec des : « Oui, … c’est bon, … rentres bien, … j’aime te sentir me prendre, … continues, … ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, … OOOOHHHH, … OUIIIIIIIII … OUIIIII, … » alors que je me vidais au premier oui, elle eut un premier spam qui la fit s’accrocher à moi, puis un second et là, elle « s’écroula » contre moi, le souffle court. Reprenant ses esprits elle me dit : « Viens, … on va dans la chambre, … » et enlacé, nous arrivâmes dans la chambre ou elle se laissa tomber sur le lit en m’entrainant ave elle, pour enfin se coller contre moi : « Serres moi dans tes bras, … » et ainsi enlacé nous sombrâmes. Le réveil indiquant 3,20 h, je fus réveillé par de doux attouchements sur et autour de mon sexe, qui de ce fait reprenait da la vigueur. Consciencieusement et avec douceur elle me pompait, quand elle s’aperçut que je m’étais réveillé, elle me regarda et dit : « Tu m’as donné bien du plaisir, je veux t’en donner, j’ai plaisir à te sucer, … ça fait longtemps que je n’ai pas eu ce plaisir, … laisses toi faire, … je veux te faire jouir dans ma bouche, … » et sans plus elle se remit à l’œuvre et il ne fallu pas longtemps, pour que je remplisse sa bouche de mon jus d’amour. L’exercice terminé elle remonta et sa calla contre moi, « Soit sage, … on va dormir, … » et effectivement rapidement tout le monde s’endormit.
Instinctivement à 6,00 h je me réveillais et descendais du lit doucement pour aller à la salle de bains, faire mes ablutions matinales. Le bruit de la douche du réveiller Hélène, car en sortant de la salle de bains, elle m’attendait à la cuisine pour un grand café. Elle était vêtue de son kimono, et sans passer par la salle de bains, avait réussi à se refaire une beauté. Le café fut bu rapidement, car j’ai toujours eu des difficultés à partir et quitter une jolie et belle femme avec qui j’avais passé une belle nuit. Donc, dans l’entrée, je m’apprêtais à partir, quand elle vint contre moi pour le baiser d’au revoir. Mais le kimono, volontairement ou non, s’était légèrement ouvert et me permettait d’avoir une belle vue sur ses seins. Arrivant contre moi, cela me permit de glisser mes mains à l’intérieur du kimono et de pouvoir la caresser et ainsi l’attirer contre moi. Le baiser fut sensuel, pendant que nos langues s’emmêlaient, mes mains parcouraient son don et ma main droite trouva le biais pour se glisser entre nous et surtout entre ses cuisses, qui, quand même, s’écartèrent légèrement. La suite, fut simple, deux doigts se glissèrent entre ses grosses lèvres avec : « NON, … non, … s’il te plait, … non, … OH, … » Mais ne tenant pas compte de son doux refus, je m’employais à la prendre avec mes doigts, … le refus fut vite oublié, quand les cuisses bien écartées, de plus, elle avança son bassin pour être bien prise, elle toute chaude et coulait comme une fontaine. « Oui, … tu es une brute, … oui, … continues, … OOOOHHH, … n’arrêtes pas, … OUIIIIII, …. OUIIIIII, …. » et en jouissant elle s’accrocha à moi, plantée sur mes doigts. Me retirant de sa chatte chaude et trempée, elle me prit les doigts et les suça en me fixant. L’opération terminée, elle revient contre moi, et « Pars vite, … mais j’espère que tu pourras repasser par ici, … fais moi signe, … je me ferais un plaisir de t’offrir le gite, … pars maintenant, …»
C’est ce que je fis.

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